Gueule de bois du siècle à Las Vegas : vu et approuvé par Papa Anonyme
Quatre potes débarquent à Las Vegas pour l'enterrement de vie de garçon de l'un d'entre eux, Doug. Forcément, ça va mal finir. On est dans la ville du péché ou bien ? Après une nuit à laquelle on n'assiste pas mais qu'on imagine sous le signe de la défonce extrême (je parle d'alcool, là, hein !), on découvre nos buddies au réveil dans leur suite du Caesar's Palace (anéantie, la suite), avec un tigre dans la salle de bains et un bébé dans le placard... C'est pas tout. Le futur marié est porté disparu ! La mission de ses potes, alors que l'intensité de leur gueule de bois ne semble avoir aucune limite : reconstituer le puzzle des événements. Et si le pire était à venir ? Bon, OK, la trame a oublié d'être originale (comment ne pas se souvenir de Very Bad Things, trempé lui aussi dans le vitriol et qui démarrait pile-poil pareil, au même endroit, avec le même genre de virée ?), mais on s'en tape. Car Very Bad Trip remplit parfaitement son contrat : chaque gaffe réparée se sanctionne par un nouveau déluge de poisse et les comédiens sont au poil. Surtout le barbu (JEU DE MOT DE L'ANNÉE direct !), Zach Galifianakis, en futur beau-frère barré à souhait. Lui, c'est mon (anti) héros de l'été.
Bon, stop. Je me retiens de vous en dire davantage. Comme je ne veux pas déflorer les gags et la "chute" du film, je m'arrête là. C'est déjà sorti depuis quelques semaines, mais ma main à couper que ce petit bijou devrait rester à l'affiche une bonne partie de l'été. Foncez. Si vous n'aimez pas, Papa Anonyme vous rembourse pas, non mais tu crois quoi, toi ? Que je gagne de l'argent avec ce blog gratuit ?
Sinon, je dis ça juste comme ça, ça sent grave les vacances, là-dedans : moins de visiteurs, statistiques en berne. Vous êtes où, là ? Mon lectorat est essentiellement juillettiste ? Putain la honte. Tu veux pas non plus que je relève ton courrier et que j'arrose les plantes ?